ANACLET ou CLET, évêque de Rome

L’absence de sources fiables met au conditionnel l’ensemble de la vie d'Anaclet ou de Clet ; cependant l'Eglise catholique l'a reconnu comme troisième évêque de Rome.
Anaclet, Grec d'Athènes, fut converti par Pierre, soit lorsque ce dernier prêchait à Athènes, soit à Rome.
Anaclet, Anenclet ou Clet (en latin : Anacletus, Anencletus ou Cletus), fait diacre puis prêtre par Pierre, le servit généreusement dans les fonctions de son apostolat et devint le compagnon inséparable de ses travaux et de ses voyages.
Pendant son séjour au Moyen-Orient, Pierre confia le gouvernement de l'Église, aux trois futurs évêques de Rome : Lin, Anaclet et Clément.

Irénée de Lyon (+ 202), Eusèbe de Césarée (+ 340) et Augustin d'Hippone (+ 430) affirmèrent qu'Anaclet et Clet n'étaient qu'une seule et même personne (Clet étant le diminutif d'Anaclet). C'est aussi l'avis de l'Annuario pontificio 1.
Par contre, pour le Catalogue libérien ou philocalien 2 et le Liber pontificalis 3, il s'agissait de deux évêques de Rome différents : Clet étant d'origine romaine et son successeur, Anaclet, d'origine grecque.
Pour sa part, le Journal des Savants (par l'Institut de France, Académie des inscriptions & belles-lettres, 1714) indique : "L'auteur (...) donne pour successeur à saint Pierre dans le saint Siège Linus. A Linus il fait succéder Clet, Anaclet ou Anenclet, c'est la même personne sous trois noms différens. Clet fut suivi de Clément..."
D'aucuns ont émis l'hypothèse que les noms, Lin, Clet et Anaclet, désignaient un même personnage (Quid 2007).


Chronologie des faits qui se sont produits dans les années 79 à 91 durant lesquelles Anaclet (ou Clet) aurait été le troisième évêque de Rome (les dates de son pontificat sont imprécises) :

79. 23 juin, dans sa résidence d’Aqua Cutiliae (près de Reate, aujourd'hui Rieti, dans le Latium), mort de Vespasien ; sentant la mort venir, il aurait dit en se levant : « Decet imperatorem stantem mori » (= Il convient qu’un empereur meure debout) ; avant d’expirer, il aurait ajouté : « Je sens que je deviens Dieu » : son fils Titus lui succède : il se rend très vite populaire par des dons généreux et des fêtes éclatantes, établit un gouvernement modéré, mettant fin à toutes les persécutions pour crime de lèse-majesté, ou atteinte à la majesté du souverain, et décrète de lourdes peines pour les délateurs. 24 octobre, une éruption du Vésuve détruit Pompéi et Herculanum, puis, le lendemain, Stabies est engloutie sous les cendres (préfet commandant la flotte militaire romaine et naturaliste, Pline l'ancien, meurt en envoyant ses galères porter secours à quelques-uns de ses amis en difficulté sur les plages de la baie de Naples ; l'éruption sera décrite par son neveu Pline le Jeune). En Chine, une commission de lettrés fixe le texte des œuvres attribués à Confucius et à son école : Maître Kong [Kongzi ou Kong Fuzi (v. 551-479 av. J.-C.) latinisé par les jésuites en Confucius], auteur de célèbres sentences, fut pour certains un législateur, pour d'autres un simple moraliste.

Vers 80.
- A Hiérapolis en Phrygie, l’apôtre PHILIPPE est mis en croix et lapidé. Une équipe d´archéologues italiens affirme avoir mis à jour la tombe de saint Philippe, l´un des douze apôtres, dans les décombres d´une église de Pamukkale, l´antique Hiérapolis, dans l´ouest de la Turquie 13.
Lorsqu'il fut appelé par le Christ, Philippe (de Bethsaïde, sur la rive nord du lac de Tibériade) était marié et père de trois filles qui s'élevèrent à une haute sainteté : l’une d’elles jeta un grand éclat sur l'Eglise d'Ephèse. Selon l'évangile de Jean, on peut supposer qu'il fut d'abord un disciple du Baptiste avant d'être appelé par Jésus à qui il conduisit Nathanaël-Barthélemy (Jean I, 43-46) ; c'est à lui que Jésus s'adressa avant la première multiplication des pains (Jean VI, 5) et c'est à lui que se présentèrent les païens désirant approcher le Seigneur (Jean XII, 20-21) ; enfin, pendant la Cène, il demanda à Jésus de montrer le Père : "Montre-nous le Père et cela nous suffit. - Philippe qui me voit, voit le Père, répondit Jésus." (Jean XIV, 8-9)
Clément d'Alexandrie identifie Philippe au jeune homme qui demanda la permission d'aller enterrer son père avant de suivre Jésus, lequel répondit de laisser les morts ensevelir les morts (Matthieu VIII, 22 ; Luc IX, 60).
Selon la tradition Philippe prêcha aux Scythes (peuple de la Russie méridionale), puis aux Galates (peuple celte installé en Galatie au centre de l’Asie Mineure) et aux Phrygiens (peuple de Phrygie, région située à l’ouest de l’Asie Mineure).
Clément d'Alexandrie prétend qu'il mourut très vieux à Hiérapolis (Phrygie) où, selon Eusèbe de Césarée qui cite Polycrate, il fut enterré. Mais d’autres, comme Jacques de Voragine dans La Légende dorée, disent qu'il fut martyrisé sous Domitien ou sous Trajan (mis en croix et lapidé).
L’apôtre Philippe, fêté le 3 mai, est généralement représenté jeune ; il porte souvent la croix de son supplice et, parfois, des pains qui rappellent son rôle lors de la multiplication des pains.
On attribue à Philippe la rédaction d’un évangile apocryphe : l’Evangile de Philippe, un texte gnostique 4, écrit probablement au IIe siècle, et trouvé à Nag Hammadi en 1945.
- Jude (Juda, Thaddée, Tadeg, Lebbée, Addaï), frère de Jacques le Mineur, est égorgé en Perse avec Simon le Zélote (ou le Cananéen) son demi-frère.

80. En été, Titus inaugure l’amphithéâtre flavien ou Colisée, commencé par son père Vespasien et financé par l’argent pris aux Juifs de Judée en 70. A Rome, grand incendie qui dure 3 jours et est suivi d'une épidémie de peste : par l’implication et la générosité qu’il manifeste envers les victimes de toutes ces catastrophes, Titus gagne la gratitude de la population.

81. 13 septembre, à Aquae Cutiliae (Castel Sant'Angelo dans le Latium), Titus meurt de la peste (ou, selon certains, assassiné à l’instigation de son frère cadet, Domitien). 14 septembre, le Sénat accorde le titre impérial au frère de Titus, Domitien (Titus Flavius Domitianus), second fils de Vespasien. Domitien dédicace l'Arc de Triomphe commencé par Titus pour célébrer sa victoire sur les Juifs en 70.

82. Dion Chrysostome ou Dion de Pruse (30-116), rhéteur (orateur) impliqué dans une conspiration, est banni d'Italie et de Bithynie ; il se réfugie dans le pays des Gètes, en Dacie (Roumanie actuelle) ; à la nouvelle de la mort de Domitien, en 96, il haranguera les troupes romaines du Danube et fera proclamer empereur Nerva.

82/83. Campagne romaine en Germanie contre des tribus révoltées.

83. A Rome, interdiction de castrer les esclaves. Domitien chasse d'Italie les philosophes (notamment les stoïciens parmi lesquels Epictète ; le stoïcisme est une école philosophique de la Grèce antique dont la doctrine peut se résumer ainsi : il faut vivre en accord avec la nature et la raison pour atteindre la sagesse et le bonheur) et fait enterrer vivantes trois vestales (prêtresses dédiées à Vesta, déesse du foyer) qui ont perdu leur virginité (en cas de relations sexuelles sacrilèges, crime qualifié d'incestus, les vestales étaient enterrées vivantes ou brûlées vives). Sur le Capitole, Domitien fait reconstruire le Temple de Jupiter qui est complètement revêtu de marbre. En été, au Mont Graupius (Grampians) en Grande-Bretagne, le général Agricola vainc les Calédoniens (Pictes) de Calgacus 10. Entre Rhin et Danube, les Romains construisent un rempart, le Limes, contre les Germains. En Transylvanie, Diuppaneus parvient à unir les Daces dont il devient le roi ; les Daces (Daci) étaient des Thraces installés en Dacie (Moldavie et Valachie) 11.

Vers 83/84. Mort de LUC (Loukas, syrien né à Antioche, médecin), évêque (?) d'Heptapolis (Thèbes) en Béotie, à l'âge de 84 ans 15 : après avoir été écorché vif, il mourut, dit-on, en étant suspendu en croix à un olivier 14. La mort en martyr de Luc est rapportée par les auteurs les plus anciens (Grégoire le Théologien notamment), mais seul Nicéphore Calliste Xanthopoulos (XIVe siècle) mentionne le supplice de la mise en croix. Selon d'autres (Élie de Crète, Nicéphore Grégoras), le saint apôtre Luc, célébré le 18 octobre, serait mort en paix. Après la mort de Paul qu’il avait accompagné à Rome, il s'était retiré en Béotie où il avait rédigé son Evangile (en s’inspirant de celui de Marc) et les Actes des Apôtres. Luc, notre ami le médecin est cité à trois reprises à travers l'Épître aux Colossiens (4, 14), l'Épître à Philémon (24) et la 2e Épître à Timothée (4, 11). Luc est symbolisé par le taureau, animal de sacrifice, parce que son évangile commence par l'évocation d'un prêtre sacrificateur desservant le Temple de Jérusalem : Zacharie, le père de Jean-Baptiste. Selon la tradition chrétienne, saint Luc a réalisé plusieurs peintures de la Vierge. Dans la tradition catholique, Luc est considéré comme le saint patron des médecins et des services de santé, des artistes, peintres et sculpteurs. D’après Luc, Jésus invite les pauvres, les handicapés, les aveugles. Aux yeux du Maître, les infirmités corporelles ne sont nullement des motifs d’exclusion du Royaume. Il nous dispense des leçons de tendresse. Inviter les pauvres, n’est-ce pas fuir la sécheresse du cœur qui calcule si souvent ses invitations avec l’espoir d’un ‘rendu’ ? (Saint Ambroise – Commentaire sur saint Luc) 16

84. Agricola, gouverneur de Bretagne, est rappelé à Rome par Domitien, jaloux de ses succès. Domitien se fait nommer consul pour dix ans : sous la République, les Romains donnaient le titre de consul aux deux magistrats principaux élus chaque année par les comices centuriates (assemblées du peuple) ; les consuls assuraient les pouvoirs suprêmes civil et militaire ; sous l'Empire, la magistrature continua, mais elle fut vidée de son pouvoir, l'empereur possédant une série de pouvoirs le rendant supérieur aux consuls ; le consulat n'offrit donc plus de responsabilités réelles et ne devint qu'une distinction importante au sein de l'ordre sénatorial ; l’empereur Tibère (14-37) transféra les pouvoirs électoraux des comices au Sénat.

85. Domitien prend le titre de censeur à vie pour contrôler les agissements du Sénat et se fait appeler Dominus et Deus (maître et Dieu). Début de la guerre contre les Daces qui ont attaqué la Mésie et tué son gouverneur.

86. Dans la vallée de la Timis, encerclé par les Daces, le préfet du prétoire Cornelius Fuscus est massacré avec toute son armée : Rome doit payer tribut aux Daces. A Rome, début de la construction d'un nouveau forum et d'un nouveau palais impérial. Julius Maternus (négociant romain dont l’excursion africaine est citée par Ptolémée), en expédition dans le Sud de l'Égypte, atteint probablement le Soudan.

87. Julius Maternus arrive en Éthiopie. Lyon (Lugdunum) compte 50 000 à 80 000 habitants ; Lutèce (Paris), à son apogée (entre le 1er et le 3ème siècle), compte entre 5 000 et 10 000 habitants 6.

88. Après avoir vaincu les Daces à Tapae, Tettius Julianus, légat de Mésie Supérieure, les repousse de l’autre côté du Danube. Le légat de Germanie, Antonius Saturninus, tente de s’emparer du pouvoir, grâce à l’aide de deux légions de Mayence, des Chattes (Germains) et avec l'appui d'une partie du Sénat romain opposée à Domitien. Rivalités entre les écoles de Marseille et Athènes comme foyers de la culture hellénique. Cérinthe, hérétique judéo-chrétien, qui a étudié la philosophie à Alexandrie, parcourt la Palestine avant de se rendre en Syrie et en Asie mineure ; il professe le millénarisme (il est le premier auteur de la doctrine du règne de mille ans qui sera embrassée par tant de Pères de l’Église).

89. En avril, le gouverneur de Germanie, Antonius Saturninus, est vaincu par le second légat de Germanie, Lappius Maximus avec le renfort du général Trajan (Marcus Ulpius Trajanus), futur empereur (98-117). La Germanie est divisée en deux provinces : Germanie supérieure et Germanie inférieure. Domitien terrorise l’aristocratie, ordonnant l’exécution de nombre de ses membres (notamment des sénateurs) accusés de trahison et confisquant leurs biens qui lui permettent de payer ses dépenses de plus en plus importantes ; les philosophes et les astrologues sont poursuivis comme ennemis de l'État (Wikipedia). Les Romains sont battus par les Marcomans (Germains). Traité de paix avec les Daces : leur roi, Décébale, accepte de se reconnaître client de l’empire, mais ne rend pas les prisonniers et les étendards des légions. Les Romains fondent la cité d’Aquincum à la place de l’actuel quartier d’Óbuda ; Aquincum devient rapidement une ville importante du limes (rempart) bordant le Danube et dispose de deux amphithéâtres, de systèmes de canalisation sophistiqués et de thermes.

89-90. Poursuite de la conquête et de la colonisation des Champs Décumates (Agri Decumates), dans la Forêt Noire entre la vallée du Main et les sources du Rhin et du Danube : Rome y installe des Gaulois pauvres soumis à une dîme (d'où le mot décumates). Les champs Décumates sont conquis, fortifiés et colonisés progressivement de 80 à 180.

90. Un camp militaire romain ne doit pas comporter plus d'une légion. Les blés sont taxés dans l'Empire romain. A Rome, achèvement des grands travaux du Mont Palatin 7 : dirigée par l’architecte Rabirius, l’édification du palais de Domitien, dont les vestiges peuvent encore se visiter, comprend deux ensembles distincts : la domus Flauia, bâtiment officiel destiné à l’exercice du pouvoir politique, et la domus Augustana, plus grande que la précédente, et réservée aux quartiers privés de l’empereur. Construction du stade de Domitien sur le Champ de Mars, de thermes et d'un nouveau forum. Après la conjuration de 89, l’empereur Domitien chasse les philosophes : le stoïcien Epictète, opposant à la tyrannie, est contraint de quitter la ville.

Vers 90/95. Le synode rabbinique de Jamnia (ou Yavne ou Yabneh), ville du centre d'Israël, fixe le canon de la Bible juive en sélectionnant les textes de l'Ancien Testament : la Bible grecque des Septante est abandonnée.

Entre 90 et 120. Construction des arènes de Nîmes (Nemausus).

91. Mort d'Anaclet.


Les oeuvres d'Anaclet
Anaclet décréta qu'un évêque serait consacré par trois évêques et non moins, que les clercs seraient admis aux saints Ordres publiquement par leur propre évêque, qu'à la Messe, la consécration accomplie, tous communieraient. 8
Il ordonna six évêques, cinq prêtres et diacres.
Il assigna un lieu pour la sépulture des pontifes ; il fit construire une chapelle au-dessus de la sépulture de Pierre et orna lui-même le tombeau du prince des Apôtres.
Il serait le premier à s'être servi, dans ses lettres, de l'expression : Salut et bénédiction apostolique.
Sans fondement, quelques auteurs ont fait remonter la création des Religieux de Sainte-Croix au temps d'Anaclet.
Au IXe siècle, un compilateur anonyme, le pseudo-Isidore, auteur des Fausses décrétales, attribua sans vergogne trois décrétales à Anaclet : leur fausseté étant évidente, elles sont considérées comme apocryphes.

Le culte de saint Anaclet (et de saint Clet)
Selon la tradition, Anaclet connut le martyr au cours de la persécution ordonnée par Domitien : « Il fut couronné du martyre sous l'empereur Domitien, dans la seconde persécution après celle de Néron, et il fut enseveli au Vatican près du corps de saint Pierre » 8. Cependant, la plupart des spécialistes pensent que la persécution des Chrétiens par Domitien n'a commencé qu'en 93, voire 95, sous le pontificat de Clément Ier.
Saint Clet était fêté le 26 avril, saint Anaclet le 13 juillet. Le culte de Clet/Anaclet a été supprimé lors de la réforme de 1969, mais il figure toujours dans la première prière eucharistique 12 du Canon de la messe : "Dans la communion de toute l’Eglise, nous voulons nommer en premier lieu la bienheureuse Marie toujours Vierge, Mère de notre Dieu et Seigneur, Jésus Christ, Saint Joseph son époux, les saints Apôtres et Martyrs Pierre et Paul, André, Jacques et Jean, Thomas, Jacques et Philippe, Barthélémy et Matthieu, Simon et Jude, Lin, Clet, Clément, Sixte, Corneille et Cyprien, Laurent, Chrysogone, Jean et Paul, Côme et Damien, et tous les saints."
Un dicton est attaché à la fête de Clet (26 avril) : Saint-Clet ferme la porte aux derniers pois.
L'église paroissiale de Cleden-Cap-Sizun (Finistère) dont Clet est le patron, possède deux statues du pape du 16e/17e siècle (l'une en granit à l'extérieur, l'autre en bois polychrome à l'intérieur, sculptées toutes les deux par des anonymes).
Une commune des Côtes d'Armor porte aussi le nom de Saint-Clet (Sant Kleve en breton). Il semble que Clet a été substitué, par analogie, à un saint local : Klezev ou Klevez 9.
La municipalité québécoise de Saint-Anaclet-de-Lessard a été nommée ainsi en l'honneur d'Anaclet.


Notes
1 Annuaire pontifical publié par le Vatican depuis 1912
2 Liste des évêques de Rome jusqu'au pape Libère rédigée en 354 par un certain Furius Dionysius Philocalus
3 Livre des papes écrit par divers clercs du haut Moyen Âge, suite de notices biographiques des différents évêques de Rome, dans l’ordre chronologique, des origines jusqu’à la fin du IXe siècle
4 Le gnosticisme, mouvement religieux ésotérique, se caractérise principalement par la croyance que les hommes sont des âmes divines emprisonnées dans un monde matériel créé par un dieu mauvais (le démiurge) ; il se développa au cours des IIe et IIIe siècles après J.-C. et constitua un défi majeur pour le christianisme orthodoxe.
5 missel.free.fr/Sanctoral/09/21.php
6 http://ma-tvideo.france3.fr/video/iLyROoafJ49F.html
7 Chronique de l'humanité, J. Legrand SA, Ed. Chronique, 1986
8 L'Année Liturgique. Dom Guéranger. 1841-1866. Abbaye Saint Benoît de Port-Valais
9 www.marikavel.org/bretagne/saint-clet/accueil.htm
10 CALEDONIA est le nom romain du nord de la Bretagne, désignant l’Écosse ; le gouvernement des Caledonii ou Picti fut le plus souvent démocratique ; le nom Picte est peut-être formé à partir d'une épithète latine, signifiant homme peint : en effet, les Pictes se peignaient le visage avec une couleur bleue avant d’aller au combat.
11 Les Thraces, des indo-européens, occupèrent les régions centrales et orientales de la péninsule balkanique, les îles voisines et la partie Nord-Ouest de l'Asie Mineure (Mysie)
12 http://nominis.cef.fr/contenus/saint/7554/Saint-Anaclet.html
13 FlashPress - Infocatho, 9 août 2011
14 http://www.crypte.fr/synaxaire/evangeliste-luc.html
15 http://www.histoire-russie.fr/icone/saints_fetes/textes/octobre2.html
16 https://fr.wikipedia.org/wiki/Luc_(%C3%A9vang%C3%A9liste)

Sources


Pape suivant : Clément Ier
Liste des papes


Auteur : Jean-Paul Coudeyrette
Référence publication : compilhistoire.fr ; reproduction interdite sans l'autorisation de l'auteur.

Date de mise à jour : 24/05/2024

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